Réglementation : la grande consultation







Il ne vous reste plus que 5 jours pour renseigner le formulaire.







Pour info, voilà ma copie :


Consultation pour une évolution de la réglementation

Pêche dans les eaux de seconde catégorie

Cette mesure existe déjà sur certaines grandes retenues depuis de nombreuses années, les espèces concernées sont le brochet, le black-bass, le sandre et la truite, mais la pêche y est autorisée au leurre (par exemple) toute l’année sans constater de dysfonctionnement particulier.

Quotas : nombre de captures autorisées. Il s’agirait de fixer, pour les espèces à fort enjeu piscicole ou halieutique, un cadre national plafond qui assurerait homogénéité et lisibilité, avec des adaptations locales possibles à l’intérieur de ce cadre (ce qui est déjà le cas aujourd’hui pour la truite et autres salmonidés avec un quota maximum de 10 spécimens).

Beaucoup de vœux et d’attentes exprimés portent sur la question des tailles légales de captures, jugées trop rigides (hormis pour la truite où une certaine souplesse existe déjà).

Espèce émergente, faisant débat, mais à fort enjeu halieutique. Sa pêche peut être développée sans préjuger des évolutions des populations.

Pêche dans les eaux de première catégorie

Les plans d'eau visés ici sont ceux qui sont classés en première catégorie pour des raisons de proximité avec des rivières de 1ère catégorie, mais où la population de truite ou autre espèce protégée est résiduelle, voire absente.

L’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) a classé le brochet comme espèce vulnérable en France. En conséquence, la question de sa protection à l’échelle nationale, indépendamment des classements en 1èreet 2ème catégorie, est pertinente.

Pêche et technique

Actuellement en 2ème catégorie la carte découverte jeune autorise jusqu’à 4 cannes.

Seule la France au niveau européen impose cette contrainte aux fabricants.

La pêche à la traîne, interdite à ce jour, a généré nombre d’interprétations et de contentieux, notamment par l’émergence de nouvelles techniques liées à l’utilisation des moteurs électriques (pêche à la verticale,…). La question de sa libéralisation est pertinente.

Pour rappel, la perche-soleil est considérée comme « susceptible de générer des déséquilibres biologiques », ce qui interdit la remise à l’eau de ce petit poisson qui constitue souvent pour les jeunes pêcheurs une « première prise ».

Question ouverte

Vous pouvez faire jusqu’à 3 propositions par ordre d’importance, concises et bien lisibles, dans le cadre ci-dessous.

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Vous aussi, participez : remplissez le formulaire sur www.federationpeche.fr.

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